
Bien que la marque de vêtements ait été rachetée en 2021 par le groupe HPB, qui a annoncé qu’il la revendrait à Go Sport, l’expert va mener une enquête sur la situation économique de l’entreprise.
Des salariés sélectionnés de l’enseigne de prêt-à-porter Gap France ont exercé vendredi leur droit d’alerte pour obtenir des informations sur la situation de leur entreprise, rachetée en 2021 pour un euro par le groupe HPB (Hermione, People & Brands), qui a annoncé la revente de Go Sport. Lors du comité central social et économique (CSEC), les élus de Gap France, dont la majorité CFDT, ont ainsi emboîté le pas à ceux de Go Sport, dont les élus avaient demandé la nomination d’un administrateur début décembre. tribunal dans le cadre de la procédure de la loi de prudence économique, a indiqué à l’AFP une source syndicale, confirmant une information de Parisien .
L’expert mandaté par le CSEC disposera de deux mois pour mener une enquête sur la situation économique de l’entreprise et remettre son rapport. HPB, l’unité de distribution de Financière immobilière bordelaise (FIB), un fonds d’investissement détenu par l’homme d’affaires bordelais Michel Ohayon, propriétaire d’un réseau de 21 magasins de vêtements Gap en France, a annoncé le 12 janvier. “l’accès à Gap France et Go Sportpour un montant de 38 millions.
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Cette opération et “manque de transparence” en matière de gestion concerne 350 salariés de Gap France, tandis que Groupe Go Sport, holding d’une enseigne spécialisée dans le sport, a été déclarée mi-janvier en redressement judiciaire par le tribunal de commerce de Grenoble. Enfin il a vu “Son statut de paiement”mais il a fait la différence avec Go Sport France, qui regroupe les magasins du groupe et n’est pas en cessation de paiement.
Chez Go Sport, les syndicats et le comité central social et économique (CSEC) se sont alarmés ces derniers mois de l’important flux d’argent vers la maison mère HPB (Hermione, People & Brands), l’entité qui regroupe les activités de distribution rachetées par Michel. oh Le parquet de Grenoble a confirmé mi-janvier avoir ouvert une enquête en novembre pour “abus d’avantages sociaux” concernant Go Sport, “les inspecteurs (ayant) présenté plusieurs révélations sur les faits du crime”avait montré l’accusation, sans plus de détails.