La Nasa prépare une fusée à propulsion nucléaire pour aller sur Mars en seulement 45 jours !

Une nouvelle ère dans l’exploration spatiale commence. Avec la reprise du programme lunaire Artemis de la NASA, nos yeux sont tournés vers les années 2030, avec une mission habitée vers Mars dans un futur proche.Si SpaceX lance son Starship, c’est en train d’explorer un moyen de raccourcir le temps de voyage dans l’espace, grâce à la NASA. propulsion nucléaire.

L’un des plus grands défis de la création Mission martienneMission martienne est le temps de trajet. avec les technologies actuelles de propulsion à carburant liquideliquide, il est possible d’y parvenir en au moins six mois. Pour une mission habitée, c’est physique et mental astronautesastronautes (en particulier l’exposition aux rayonnements) et cela est immédiatement porteporte pour une exploration résidente plus lointaine système solairesystème solaire.

Si nous pensons que nous ne le serons pas dans un avenir proche,USS Entreprise ou alors faucon du millénairecependant, nous devons trouver un moyen de réduire drastiquement le temps de trajet des astronautes vers la planète rouge sans alourdir le navire en chargeant des dizaines de tonnes de fret.propulseurspropulseurs liquides. La propulsion nucléaire est une solution très avantageuse.

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Le renouveau de la course automobile nucléaire

La première course à cette technologie a eu lieu pendant la guerre froide, après quoi les programmes ont été interrompus. Cependant, ces dernières années, la Russie, la Chine et les États-Unis ont de nouveau été impliqués dans ces projets. Cette NasaNasa redémarré un programme de propulsion nucléaire bi-mode, contraignantcontraignant à la fois un système de propulsion thermique nucléaire (NTP) et un système de propulsion électrique nucléaire (NEP).

L’objectif est d’atteindre Mars en 100 jours au lieu de 180 jours aujourd’hui. Grille des programmes Niac — Concepts avancés innovants de la NASA – dans une première étape, appelée collecte des concepts et accompagnement de leur maturation, avant de passer à des étapes plus concrètes.

Rassemblement nucléaire thermique et nucléaire électrique

Ce sont les deux concepts de propulsion nucléaire étudiés jusqu’à présent. Le NTP est basé sur un propulseur conventionnel avec de l’hydrogène liquide (LH) comme propulseur.2), serait chauffé par un réacteur nucléaire embarqué. Ce fort échauffement fait que l’hydrogène se transforme en gaz, ce qui l’augmente fortement. Faire pressionFaire pression canalisé par SeinSein. La poussée produite est très efficace. Le concept a été étudié par la NASA et les USA. TempsTemps Force à partir des années 1950 et par l’URSS entre 1965 et 1980.

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Le système de propulsion NEP est basé sur un réacteur nucléaire qui alimente en électricité un moteur ionique (avec hélice effet saloneffet salon). Cela crée un Champ électromagnétiqueChamp électromagnétique accélération des particules gazgaz pour générer de la poussée. Gaz couramment utilisé xénonxénon.

Savez-vous ?

L’énergie nucléaire est déjà utilisée dans l’espace depuis des décennies ! Des batteries atomiques alimentent quelques sondes comme Voyager 1 ou Cassini car leur éloignement du Soleil ne leur permettait pas d’avoir suffisamment d’énergie solaire. Cela vaut également pour le rover martien Curiosity and Perseverance, qui fonctionne sans panneau solaire !

L’association de ces deux propulsions pour une même mission permet d’être plus flexible dans la poussée requise. En effet, un voyage interplanétaire nécessite à la fois des poussées importantes (départ et arrivée pour le freinage) et des corrections de trajectoire mineures. De plus, la force de poussée ne doit pas être trop forte pour le confort des astronautes. En revanche, il devrait pouvoir durer plus longtemps. Par exemple, un concept CIP peut maintenir la propulsion pendant près de trois heures.

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Une innovation qui réduit le temps de trajet à 45 jours

Sélectionné dans la première phase du programme Niac de la NASA” NTP/NEP bimodal avec boucle de crête de rotor d’onde Il propose l’ajout d’un compresseur à ondes de pression, proposé par le professeur Ryan Goose, responsable du programme Hypersonic à l’Université de Floride. En conjonction avec le moteur NTP, le compresseur utilise la pression créée par l’échauffement du moteur. LH2LH2 pour le comprimer davantage et ainsi augmenter encore la poussée. Avec un moteur CIP, la propulsion est également améliorée. L’ajout de ce compresseur à un système bi-mode combinant NTP et CIP pourrait réduire le temps de trajet vers Mars à 45 jours, selon Goose.

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